Qu’est que la « posture » ?
La vision et conception mécaniste de la posture.
Le fait de maintenir une posture de référence ou de l’adapter à l’environnement implique de prendre en compte à la fois les contraintes du corps, en particulier celles liées aux masses des différents segments corporels et également celles liées aux contraintes externes telles que la gravité, la stabilité des appuis au sol ainsi que celles liées à l’environnement.
Il est devenu consensuel d'admettre que le maintien d'une posture de référence était organisé par le système postural d'aplomb, vraisemblablement structuré sur le mode d'un système dynamique non linéaire, s'appliquant à orienter le corps de façon optimale et à minimiser les oscillations autour de cette orientation.
Les posturologues en donnent la définition suivante:
"La posture est l'élaboration et le maintien actif de la configuration des différents segments du corps dans l'espace, elle exprime la manière dont l'organisme affronte les stimulations du monde extérieur et se prépare à y réagir. Elle est le fruit d'une activité musculaire à la fois tonique et phasique.
La configuration des segments corporels est élaborée sur un mode plutôt phasique mais non exclusivement, elle est maintenue sur un mode plutôt tonique mais non exclusivement".
Pour y parvenir, ce système est défini comme étant organisé suivant le modèle d'une boucle cybernétique agissant sur le modèle suivant : prise d’information > intégration > exécution > modification de la posture ou tactique posturale, puis > nouvelle prise d’information, etc…
Chaque individu est doté à cet effet de récepteurs sensitifs lui indiquant l’orientation des forces qu’il subit.
Ces principaux récepteurs sensitifs peuvent être définis comme étant: l’appareil vestibulaire codant les changements de gravité, l’appareil visuel codant les informations provenant de l’environnement (verticales, horizontales, couleurs, déplacements, etc ...) la proprioception codant la configuration relative des segments du corps (musculaire, articulaire et viscérale) l’extéroception cutanée (somesthésie) codant, entre autre, les réactions au sol et les informations sensorielles sensitives (mécaniques, nociceptives etc…)
Tous ces capteurs sont actifs en permanence et en synergie.
Le fait de maintenir une posture de référence ou de l’adapter à l’environnement implique de prendre en compte à la fois les contraintes du corps, en particulier celles liées aux masses des différents segments corporels et également celles liées aux contraintes externes telles que la gravité, la stabilité des appuis au sol ainsi que celles liées à l’environnement.
Il est devenu consensuel d'admettre que le maintien d'une posture de référence était organisé par le système postural d'aplomb, vraisemblablement structuré sur le mode d'un système dynamique non linéaire, s'appliquant à orienter le corps de façon optimale et à minimiser les oscillations autour de cette orientation.
Les posturologues en donnent la définition suivante:
"La posture est l'élaboration et le maintien actif de la configuration des différents segments du corps dans l'espace, elle exprime la manière dont l'organisme affronte les stimulations du monde extérieur et se prépare à y réagir. Elle est le fruit d'une activité musculaire à la fois tonique et phasique.
La configuration des segments corporels est élaborée sur un mode plutôt phasique mais non exclusivement, elle est maintenue sur un mode plutôt tonique mais non exclusivement".
Pour y parvenir, ce système est défini comme étant organisé suivant le modèle d'une boucle cybernétique agissant sur le modèle suivant : prise d’information > intégration > exécution > modification de la posture ou tactique posturale, puis > nouvelle prise d’information, etc…
Chaque individu est doté à cet effet de récepteurs sensitifs lui indiquant l’orientation des forces qu’il subit.
Ces principaux récepteurs sensitifs peuvent être définis comme étant: l’appareil vestibulaire codant les changements de gravité, l’appareil visuel codant les informations provenant de l’environnement (verticales, horizontales, couleurs, déplacements, etc ...) la proprioception codant la configuration relative des segments du corps (musculaire, articulaire et viscérale) l’extéroception cutanée (somesthésie) codant, entre autre, les réactions au sol et les informations sensorielles sensitives (mécaniques, nociceptives etc…)
Tous ces capteurs sont actifs en permanence et en synergie.
1 Comments:
Pour l'instant je suis lycéenne et je m'interesse vraimen a la Posturologie.Votre blog et vraiment interressent mon posturologue n'a sécé de me faire votre hélogue (comme quoi vous étié la meuilleur)
Je pense qu'il a reson peut on se retrouvera aprés mes étude.
P.S:je suis dyslexique donc ne faite pas attention aux fautes d'orthographe.
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